Accéder à la propriété est souvent un rêve difficile à réaliser pour les personnes en contrat à durée déterminée (CDD), en intérim, autoentrepreneurs ou intermittents du spectacle. La précarité perçue de ces statuts complique l’obtention d’un prêt bancaire classique, même pour les candidats sérieux. Pourtant, une solution existe pour contourner ces obstacles : la vente à terme.
Les établissements bancaires, bien qu’ils évaluent la capacité de remboursement, sont souvent réticents à accorder des prêts aux personnes sans contrat à durée indéterminée (CDI). Cette réticence s’explique par :
Une stabilité perçue comme insuffisante Les contrats courts ou le statut d’autoentrepreneur ne garantissent pas une régularité de revenus sur plusieurs années.
Des revenus fluctuants : Pour les autoentrepreneurs et intermittents du spectacle, les périodes d’inactivité entre deux missions peuvent inquiéter les banques.
Un manque d’historique de crédit stable
La vente à terme offre une approche différente. En l’absence de recours au crédit bancaire, l’acheteur paie une partie du prix immédiatement (apport initial), puis verse des mensualités directement au vendeur sur une période convenue. Ce modèle de financement :
Ne nécessite pas de validation bancaire.
S’adapte aux revenus fluctuants des acheteurs.
Permet un accès progressif à la propriété sans passer par un emprunt.
Sophie L., intermittente du spectacle :
« Malgré un revenu stable sur l’année, les banques refusaient mon dossier. Grâce à la vente à terme, j’ai pu devenir propriétaire sans avoir à justifier un CDI. Aujourd’hui, je rembourse directement l’ancien propriétaire. »
Karim B., en intérim depuis 5 ans :
« Impossible d’obtenir un prêt classique, même avec un bon apport. La vente à terme a été une vraie chance. Je paie chaque mois une somme raisonnable, adaptée à mes revenus. »
Aucune dépendance aux banques : Le financement est négocié directement avec le vendeur, sans passer par les organismes de crédit.
Flexibilité des paiements : Les mensualités peuvent être adaptées à la situation de l’acheteur. Il est parfois possible de négocier des paiements saisonniers ou progressifs.
Valorisation des revenus réels : Contrairement aux banques qui privilégient le CDI, la vente à terme prend en compte votre capacité réelle à épargner ou à investir.
Pour l’acheteur : Accès facilité à la propriété, sans discrimination liée au statut professionnel.
Pour le vendeur : Paiement sécurisé, étalé dans le temps, tout en vendant à un prix optimisé.
Apport initial : L’acheteur verse une somme initiale, généralement entre 10 % et 30 % du prix de vente.
Paiements mensuels : Le reste est payé en plusieurs mensualités sur une période définie (généralement 5 à 10 ans).
Transfert de propriété : Selon les modalités, l’acheteur peut occuper le bien dès la signature de l’acte de vente ou après le paiement intégral.
Chez ProSanBank, nous comprenons les défis auxquels sont confrontés les travailleurs en CDD, en intérim, au statut d’autoentrepreneur ou intermittents du spectacle. Nos experts en vente à terme vous accompagnent à chaque étape, depuis la négociation des termes du contrat jusqu’à la sécurisation juridique de la transaction.
Nous proposons également des solutions sur mesure, adaptées à votre situation professionnelle, pour que devenir propriétaire ne soit plus un rêve inaccessible.
Si les banques vous ferment leurs portes, la vente à terme peut être la clé de votre projet immobilier. Contactez-nous pour une consultation gratuite et découvrez comment cette solution peut s’adapter à votre situation.